Aliens : Dark Descent
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Je m'étais toujours dit qu'un jour je craquerai pour un jeu de simulation ferroviaire. L'attrait du jeu d'enfant probablement. La gestion des voies ferrées, les aiguillages, les marchandises, les passagers, le courrier, les ponts, les tunnels, tout ce côté fascinant du chemin de fer, avec en prime un retour sur l'histoire de la conquête de l'Ouest au travers de l'évolution de cette technologie (pas de débat ici, c'est un jeu pas une tribune).
Un mix entre Warcraft 3 et Baldur's Gate sur console! Mais prenez mon argent!
Décidément, j'aime les jeux de stratégie-gestion-tactique. J'y jouais beaucoup durant mon époque PC il y a plusieurs années mais beaucoup moins depuis l'ère consoles. J’avoue que je suis ravi de retrouver ce genre si addictif. C'est délicat de réaliser un bon jeu de réflexion, il faut proposer un challenge intelligent tout en conservant une dose de fun pour éviter l'austérité et le découragement. Ce défi est pleinement remporté par Battle Brothers.
Plongé dans ma crise du jeu de stratégie, j’ai craqué ce week-end pour un nouveau titre repéré depuis l’été dernier, suite d’un jeu culte des années 90 et bradé à -60% dans sa version Lords, j’ai nommé King’s Bounty II. Au bout de 3 heures de jeu, je sais d’ores et déjà que je n’irai pas au bout.
Depuis plusieurs mois, je vois passer Frostpunk devant mes yeux avec l’envie insidieuse de le lancer sans faire le premier pas. Et puis, cette semaine, inopinément, comme un logiciel qui quitte le système, j’ai fini par lancer une première partie de Frostpunk, comme çà, sans plan, sans objectif, sans planning. Et j’ai joué 2h d’affilée. C’est très souvent bon signe quand on ne décroche pas d’un jeu à la première utilisation : çà matche. Maintenant, comme souvent, j’aime me poser la question du pourquoi.