Aliens : Dark Descent
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Je m'étais toujours dit qu'un jour je craquerai pour un jeu de simulation ferroviaire. L'attrait du jeu d'enfant probablement. La gestion des voies ferrées, les aiguillages, les marchandises, les passagers, le courrier, les ponts, les tunnels, tout ce côté fascinant du chemin de fer, avec en prime un retour sur l'histoire de la conquête de l'Ouest au travers de l'évolution de cette technologie (pas de débat ici, c'est un jeu pas une tribune).
Depuis plusieurs mois, je vois passer Frostpunk devant mes yeux avec l’envie insidieuse de le lancer sans faire le premier pas. Et puis, cette semaine, inopinément, comme un logiciel qui quitte le système, j’ai fini par lancer une première partie de Frostpunk, comme çà, sans plan, sans objectif, sans planning. Et j’ai joué 2h d’affilée. C’est très souvent bon signe quand on ne décroche pas d’un jeu à la première utilisation : çà matche. Maintenant, comme souvent, j’aime me poser la question du pourquoi.
3ème support pour ce jeu de stratégie 4X (Exploration-Expansion-Exchange-Extermination), après une cinquantaine d'heures sur PC, une autre cinquantaine sur iPad, me voilà de nouveau sur Civilization VI mais cette fois sur PS4 (via PS5). Et toujours autant de plaisir, même si cet épisode n'arrive pas au niveau de Civilization IV qui reste le meilleur pour moi, aujourd'hui.
Depuis mes heures sur Civilization 3-4-5-6, les 4X (Exploration, Extermination, Expansion, Exploitation) ont une place à part dans mon univers vidéoludique. Prioritairement joués sur machines (PC/Mac), ils n'ont pas la même saveur qu'un jeu console pur, dans son canap' avec la zap sur la table. Aussi, à l'arrivée progressive des jeux de stratégie et gestion sur consoles, j'ai bondi sur ma manette pour tester ce gameplay en mode canapé. Et j'ai bien fait.