Binary Domain

24 juillet 2012 - TEST

Sale tas de ferraille ! » Voilà à peu près le leitmotiv de ce jeu. Et aussi l’insulte la plus soft. En effet, il n’est pas rare durant toute l’histoire de savourer des dialogues ciselés à la hache, réhaussés de nombreux : « Fils de p… » et autres « Dis à ta mère que je l’aime ! » Si, si, véridique. La première exigence de ce jeu est donc de faire abstraction de ces dialogues bas du front qui jalonnent le scénario.