Voice of Cards : The Isle Dragon Roars
- En savoir plus sur Voice of Cards : The Isle Dragon Roars
- Se connecter ou s'inscrire pour publier un commentaire
Par les créateurs de Code Vein, Soulcalibur, God Eater ou la série des Tales of (liste qui suffit à elle-même), difficile de ne pas avoir envie de retrouver cette patte graphique, au vu des images qui circulent maintenant depuis plus d'un an. Un sytème d'action-RPG a priori très novateur, une histoire de SF complexe et touffue, un bestiaire, des compétences et des héros originaux et rafraîchissants, bref de quoi avoir envie sans hésiter. Matez la vidéo là-dessous, vous comprendrez vite pourquoi le jeu est dans ma wishlist.
Prise du Black Friday 2020, j’ai relancé ce soir le second Ni No Kuni, après une première tentative en 2018 lors de sa sortie. J’avais tellement aimé le premier que mes attentes avaient crevé le plafond pour cette suite. Malheureusement, je n’avais pas adhéré, faute d’empathie pour les 2 héros principaux, Evan et Roland, mais surtout à cause de la simplicité enfantine du jeu. Les combats s’enchaînaient tellement vite que je n’avais même pas le temps d’essayer mes nouvelles armes ou compétences.
Même si je sais pertinemment que ma ludothèque va être bousculée par la tempête PS5 qui se prépare chez le Toki, je continue mon exploration des jeux vidéo avec cette fois un titre de la même boîte que Code Vein, dont le numéro 2 m’avait fait de l’oeil sur PS Vita sans pour autant que je craquasse. Dès les premiers instants, on sent bien que les deux jeux sont liés, la musique, l’anime, le skin des armes. Du coup, j’ai créé un perso proche de celui dans Code Vein, çà me donne l’impression d’une nouvelle aventure avec le même personnage.
Une belle surprise que ce Code Vein. Fini en moins de 3 semaines (la première fin, j’entends, puisque le jeu propose un game+ et d’autres fins alternatives), avec un règne quasi sans partage, seul le dieu des enfers Hadès a pu rivaliser avec lui durant ces jours de gaming.
85h de jeu plus tard et toujours au coeur de Tokyo dans cette histoire rocambolesque, barrée, iconoclaste, magique mais tout de même longue. J'arrive au stade du jeu où je commence largement à ressentir le poids de la looongue histoire du jeu, dont certains passages me paraissent clairement dispensables (le voyage scolaire à Hawaï???). Mais je suppose que c'est le passage obligé de tous les jeux du club des 100h (les Dragon Quest, les Final Fantasy d'origine, les Ni No Kuni, etc.).
J'adore ces rares moments où je craque sur un titre sans rien en attendre et où je me fais happer direct. Judgment en fait partie. Il est disponible en ce moment sur le PlayStation Store (jusqu'au 20 août 2020) pour seulement 11,99€, soit quasiment un paquet de clopes, une des denrées que vous pourrez acheter dans le jeu et avec laquelle vous aurez un bon point si vous en grillez une en zone fumeurs d'un café...
Peut-on vraiment dire que j'ai fini Dragon Quest XI? Et bien c'est délicat. Oui j'ai vu le générique de fin et oui j'ai achevé le combat qui, a priori, était le dernier. Mais, comme à son habitude, le jeu offre un postgame permettant d'enrichir le final et de dévoiler de nouvelles informations.
Note : Les avis ci-dessous sont basés sur mon expérience de jeu, je n'ai pas pour habitude de voler les idées des autres, c'est du 100% made in Toki, même si vous trouverez forcément des similitudes avec d'autres avis.
Il y a presque 10 ans, j’avais dévoré ce jeu sur Wii, malgré des graphismes qui, aujourd’hui, nous infligeraient immanquablement une migraine ophtalmique. Aujourd’hui, j’ai replongé avec délice dans ce JRPG et franchement çà promet de très très bonnes heures de jeu. Le travail réalisé sur le lissage visuel est très bon, les premiers combats sont fluides et l’interface est d’une clarté exemplaire.