Assassin's Creed : Origins
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Cela fait 2 semaines que je n'ai pas touché au jeu, il se passe quelque chose avec Kratos... Je n'arrive pas à être happé par le scénario et le jeu ne me procure pas le plaisir attendu (la composante light-RPG/craft est vraiment laborieuse). Pour autant, cela reste un très bon jeu mais je pense que ce n'est pas la bonne période pour que je m'y implique. En plus, j'ai relancé Skyrim comme un boulet et quand vient le choix du jeu, j'ai plus envie de retourner en Bordeciel qu'en Midgard.
Après 9h de jeu, je pense avoir intégré la mécanique de jeu suffisamment pour entrer en phase 3 de ma relation avec Xuan Yuan Sword, à savoir la phase d'évaluation qui décidera si j'accepte ce gameplay pour entrer en phase 4 d'implication (celle qui confirme la première impression pour aller jusqu'au bout) ou si je refuse le gameplay par manque de plaisir et donc abandon. En toute honnêteté, je pense que l'abandon guette, malheureusement.
Un mix entre Warcraft 3 et Baldur's Gate sur console! Mais prenez mon argent!
Quel dommage. Cela avait si bien débuté. Tiny Tina's Wonderlands était drôle, la narration maîtrisée et le concept Shlooter semblait rénové. J'avais dans les mains une parodie de jeu de rôle (à la fois vidéo et de table), qui s'inspirait de nombreuses références pour nous faire passer un bon moment. Malheureusement, passée la première moitié du jeu, le scénario semble quasi abandonné, aucune cohérence, plus d'idées, pire, ce qui était drôle au début ne l'est plus vraiment à la fin.
6h de jeu en plus de deux semaines, vous avez bien compris malheureusement que la proposition de Ghostwire Tokyo ne m'a pas suffisamment convaincu pour que j'accroche jusqu'au bout. Malgré un gameplay dynamique et original porté par une technique irréprochable (à quelques ombres près), la narration se perd au milieu d'un game design plutôt basique.
Bien avant le mois de décembre, ce titre associant l'art de Hidetaka Miyazaki, papa des Souls, Bloodborne et autre Sekiro, et l'art de George R. R. Martin, papa de Game of Thrones, a attisé la curiosité de tous les fans de RPG dark fantasy à composante masocore. Comment rester insensible à cette direction artistique fidèle aux précédents Souls? Surtout après l'extraordinaire Demon's Souls Remake...