The Evil Within

Du sang neuf.

86

27 décembre 2020 - Re-NEW GAME!

Et nous voilà reparti dans l'hôpital psychiatrique Beacon avec l'inspecteur Sebastian Castellanos, après la purge du RE3 Remake, il nous fallait renouer avec l'horreur et la terreur, manette en main, la vraie, l'unique, celle inventée par Shinji Mikami dans le tout premier Resident Evil et qui se retrouve à 100% dans The Evil Within. En quelques minutes, on est projeté dans un jeu terrifiant, crispant et haletant. Le jeu a beau avoir 6 ans bien tassés, il se tient très bien et la formule fonctionne illico. Du coup, rebelote. Il nous fallait un jeu d'horreur de Noël (quasi tradition avec ma petite femme), on a trouvé de quoi nourrir notre besoin de sursauts numériques.

7 décembre 2014 - TEST

Amateurs de survival-horror, une nouvelle licence est née. The Evil Within est un très bon jeu où il faut avoir les tripes solides par moment mais où le plaisir de jeu est bien présent. Si vous n'êtes pas trop regardant sur l'animation et qu'un certain côté old-school vous plaît, ce jeu mérite votre attention. C'est évident que la référence Resident Evil transpire à chaque niveau (même auteur oblige) mais la déception fut telle sur les 2 derniers épisodes de RE que ce retour aux sources du genre est un régal. Des coups de shotgun bien placés, une arbalète vicieuse, des ennemis malsains et un final réussi, voici la recette magique de ce jeu réservé aux amateurs d'horreur et de névrose...

25 octobre 2014 - EN COURS

The Evil Within continue de m'enchanter. Je viens de clore le chapitre 9 (14h de jeu), qui est sans aucun doute le meilleur pour le moment. Toute l'action se situe dans un manoir, bien évidemment hanté par les souvenirs d'un personnage majeur de l'histoire, histoire aussi méandreuse que les circonvolutions d'un cerveau malade. Un régal de level design avec quelques petites énigmes, pas bien compliquées mais qui rappellent tant de bonnes heures de jeu. C'est là où réside la grande force de The Evil Within : il ne réinvente pas le type survival horror, il s'approprie les recettes des précédents (Resident Evil et Silent Hill, bien sûr) et nous les sert tels des mets délicats à la table d'Hannibal Lecter... Si vous aimez sursauter, si la cervelle de veau est votre hors-d'oeuvre favori, si le rouge ne vous fait pas fuir ou si un bon gros carreau fiché dans la tête d'un mort-vivant vous séduit, alors ce jeu est fait pour vous. Le verdict sent le podium de l'année.

16 octobre 2014 - NEW GAME

Ah que çà fait du bien. Après toutes ces années de déceptions successives sur les suites ratées de Resident Evil 4, Bethesda nous offre The Evil Within, un jeu de type survival horror complètement inspiré de son aîné (sans doute à cause de son créateur commun...). Dès les premières heures de jeu, on ressent l'atmosphère tant espérée par les fans, avec ces zombies étranges, torturés et douloureux. Quel plaisir de fouiller chaque recoin de ces décors volontairement ternes, crasseux, brumeux et cendrés. Quel plaisir de donner un petit coup de pied dans une échelle! Quel plaisir de tomber sur une arbalète à carreaux explosifs! Attention, tout de même, que les âmes sensibles retournent sur Mario Bros, car ici point de couleurs, point de joie, point de rires... En une session de jeu, le héros a été décapité, tronçonné du torse, piétiné de la face, tabassé à mort, haché, sectionné en deux, éparpillé et égorgé. Je sais, çà fait beaucoup mais comme les toons, il se relève toujours. En tout cas, pour une première impression, j'admets volontiers le pied immense que je prends à parcourir ce film d'horreur dont vous êtes le héros. Si vous êtes un grand nostalgique des meilleurs Resident Evil et que vous n'êtes pas trop regardant sur l'animation fluide et les caméras sans bugs, alors jetez vous sur The Evil Within comme un Rôdeur sur de la chair humaine...

Temps de jeu
26h