Fantasy

Warhammer : Chaosbane

1er mars 2021 - TEST

Vous connaissez tous cette métaphore du gâteau soufflé, magnifique à la sortie du four et difforme et repoussant une fois refroidi. Et bien voilà, c'est tout à fait Warhammer : Chaosbane. Dans les premières heures de jeu, lorsqu'on découvre les compétences, les attributs, les aptitudes de nos héros, on s'amuse, on batifole et çà fonctionne.

Godfall

15 février 2021 - TEST

Je ne sais pas trop comment débuter cet avis sur Godfall. Il n’est pas possible d’être entièrement catégorique et de dire j’ai aimé ou je n’ai pas aimé. De façon très étrange, le jeu arrive à nous divertir malgré un contenu et un principe de jeu très léger voire étriqué. On enchaîne les sessions de chasse pour arriver au bout de la pseudo-histoire sans vraiment s’en rendre compte, en rechignant un peu à chaque lancement mais en appréciant le gameplay et l’environnement durant la mission.

The Elder Scrolls Online : Tamriel Unlimited

En ces temps troublés où les joueurs de RPG luttent chacun pour défendre leurs poulains, sorceleur d'un côté, chasseur de l'autre, il est peut-être intéressant de se pencher sur The Elder Scrolls Online : Tamriel Unlimited, la version MMORPG de la série à succès qui nous a offert Skyrim, Oblivion ou Morrowind, pour les plus récents. Vous allez très vite le constater sur les quelques screenshots ci-dessous, les graphismes sont bons mais les textures sont souvent lisses et datées.

The Witcher 3 : Wild Hunt

Le titre du billet est clair. Tout a été dit à propos de The Witcher 3 donc je serai assez bref. Les images prises durant mes 12 premières heures de jeu sont parlantes. Je vous laisse apprécier l'horrible veste, la végétation géométrique, les champignons lisses du temps de la PS2 ou encore la marelle aérienne du jeune garçon... Non, The Witcher 3 n'est pas un chef d'oeuvre, loin de là.

New game : Bloodborne

Dès les premières minutes de Bloodborne, il est évident que nous sommes dans un jeu de la série "Souls". Tout y est : les âmes simplement renommées échos de sang, les menus et cette police gothique si particulière, le gameplay à base d'ambidextrie et d'objets rapides, et bien entendu la difficulté frustrante et paradoxalement addictive. Donc, la délicieuse recette semble identique avec un enrobage différent et pourtant çà fonctionne. Sans doute grâce à une réalisation technique irréprochable, tant dans les graphismes que dans l'animation qui a franchement gagné en fluidité.

Dragon Age Inquisition

La durée de vie et la note suffisent à illustrer mon appéciation de ce jeu de rôle. Même si certains aspects manquent par rapport à Dragon Age Origins (tactiques plus précises, pièges, faiblesses, charisme des compagnons), une fois que l'on oublie le premier Dragon Age, nous avons dans les mimines un jeu d'exception, capable de canaliser vos heures de jeu de façon addictive et exclusive. Je n'ai quasiment joué à rien d'autre depuis Novembre 2014. La série de clichés vous donnera une bonne idée de ce que peut donner le jeu sur console nouvelle génération.

Lords of The Fallen

Bon, je serai assez bref au sujet de Lords of The Fallen. Grosse déception. Malgré un début prometteur, évoqué dans un précédent billet, la suite ne fut malheureusement pas très glorieuse. Pour être honnête, je n'ai même pas terminé le jeu... Pour la bonne et simple raison que le jeu a planté, 3 fois de suite, après un long et pénible combat de boss. Le freeze inexplicable qui réinitialise le combat... Rien de pire que ce type de bug pour assassiner un jeu vidéo.