No Man's Sky

03 juin 2021 - REPRISE

5 ans plus tard, me voilà de nouveau projeté dans l'espace. Vu le nombre conséquent de modifications/ajouts/mises à jour apporté par Hello Games à son jeu vivement critiqué à la sortie (trop de promesses non tenues), la curiosité m'a poussé à reprendre le jeu sur PS5 (merci Days of Play). Et franchement après plusieurs années, la différence saute aux yeux. La qualité de vie dans le jeu est bien meilleure (navigation, informations, suivi des quêtes, etc.) et visuellement, il y a eu un shift marquant sur les textures, les reflets, les effets de particules, la faune et la flore. C'est bluffant. Quant aux nouvelles mécaniques de jeu, il m'en reste tellement à découvrir! J'ai hâte de bourlinguer sur une planète de basalte avec mon Rover perso ou mon méca! Ou mieux, à dos de pet volant... Et puis quand j'aurais la dalle, hop, un tour dans mes plantations aliens et je me casse le bide. Les promesses non tenues à l'origine ont été rattrapées voire dépassées! C'est un exemple de gestion d'un jeu à long terme, en perpétuelle remise en question, utilisant à merveille le dynamisme des mises à jour en ligne.

21 août 2016 - EN COURS

Après 10 jours de voyage interstellaire (album photo ci-dessus), je me suis rapproché du centre de l'univers! Plus que 175 000 années-lumière... En partant de 178 000 années-lumière, j'ai quand même parcouru 3000 années-lumière, pardon, ce n'est pas rien. Pas moins de 18 systèmes stellaires et une bonne trentaine de planètes visitées (30h de jeu). Environ 6 à 8 espèces animales détectées à chaque fois, on arrive déjà à environ 200 espèces de faune cosmique. Sans compter les espèces végétales, sur terre et sous l'eau... ah les petits poulpis à gros nyeux... Alors oui, je me suis un peu ennuyé sur certains cailloux, vides, toxiques et sans ressources. Mais No Man's Sky appelle à la curiosité, au désir d'aller plus loin. On connaissait le "One more turn" de Civilization ou le "Une dernière" de Worms, à la grande époque. Aujourd'hui, on a le "Allez, une autre planète" et Pschiouuuuu, on décolle. Oui, je sais, j'écris super bien le décollage spatial. Et puis, on a toujours une technologie de vaisseau à crafter, qui demande des centaines de minerais rares ou de l'antimatière. Certes, je ne fais plus attention à tous les plans de technologie déjà connus que je déniche dans 90% des cas. Même l'ingénieur Polo dans sa station m'a refilé un plan tout moisi en échange de ma connaissance des dialectes aliens. Moi qui espérais le passe Atlas V2, je me sens un peu arnaqué, mon Polo. Mais je l'aurai ce passe V2! et le V3 aussi! Foi d'explorateur cosmique. Quand on sait que le passe V1 ouvre les portes d'une salle de chaque station spatiale où se trouve constamment une amélioration d'exocombinaison et donc un emplacement d'inventaire en plus, on saisit bien l'importance de ces foutus passes de l'espace! Sinon, je galère pour avoir un nouveau vaisseau... Les épaves que je découvre au détour d'un canyon sont plus pourries que mon propre aéronef neuf, snif. Et tous ces Geks qui me narguent à la station spatiale avec leur cargo 30 emplacements à 6 millions de brouzoufs! Rhaaaaaaa!! Un jour (pardon, un sol), je vous dégommerai au rayon phasique... Allez, une autre planète...

Date de sortie
Temps de jeu
33h